Il y a les « Cent onze dessins faits à Buchenwald », bouleversant témoignage du peintre Boris Taslitzky sur ce camp d’extermination nazi, mais il y a aussi les croquis clandestins du peintre Léon Delarbre, témoignage tout aussi poignant sur l’enfer concentrationnaire dans les camps de Dora, Auschwitz, Buchenwald et Bergen-Belsen.
Je dois à Jacques Saraben dont le père, Julien, était un vieil ami de Léon Delarbre, de m’avoir fait connaître cet artiste peintre, conservateur du musée de la ville de Belfort, résistant et ancien déporté…