Voilures


La vision d’une piètre lueur

Peut infiltrer la peur

Et éviter le souci.


Dans un si frêle abri

Il n’est en rien désuet

D’inscrire des sonnets

Pour un hymne des corps

Fussent-ils en désaccord.


Sur les funestes monuments de la perte

Et des affres du temps

Sur les accidents et les tourments

Passe le fleuve des doux moments

Embarque ! La voie n’est pas déserte.


Site personnel de Jean-Claude Duponq